Le message des maladies

La maladie comme voie de guérison que vous pouvez écouter dès maintenant:

Révélez votre talent créatif

Une conversation avec Jean-Philippe Brébion, créateur de la Bioanalogie

L’approche de Jean-Philippe Brébion est le fruit d’un long travail d’analyse. C’est un travail d’observation de notre fonctionnement biologique ainsi qu’une puissante recherche au plus profond de l’âme, de l’humain et de la Vie dans ce qu’elle a de plus pur. La Bioanalogie, comme il l’appelle, est un outil quantique. Elle permet une lecture analogique des événements de notre vie, nous accompagne dans l’interprétation des signes, favorise une meilleure compréhension du sens des choses. Elle utilise des principes simples mais percutants, qui nous aident à porter un autre regard sur ce qui nous touche et nous permettent de donner un sens à notre vie.

Jean-Philippe, vous êtes le créateur d’une approche grâce à laquelle nous pouvons donner un sens aux événements de notre vie. Qu’est-ce que la Bioanalogie? 

La Bioanalogie est le résultat d’un travail rigoureux d’observation de notre fonctionnement biologique. Mais elle est aussi, pour ma part, le fruit d’un engagement constant dans une expérimentation personnelle. Elle permet notamment une compréhension originale de la maladie, car notre corps exprime ce que nous n’arrivons pas à vivre en conscience. L’éveil à cette dimension nous permet de réaliser que ce qui se passe à l’extérieur et à l’intérieur est l’expression d’une seule et même réalité non séparable. C’est une approche de conscientisation et de transformation profonde.

J’ai mis plus de 40 ans à développer la Bioanalogie. Il s’agit d’une approche humaniste de la vie, non dualiste et dénuée de toute causalité. Elle s’appuie sur l’hypothèse que tout est analogique à la première loi de « notre univers » : une rencontre entre le temps et l’espace.

Ainsi la vie se lit en trois plans, ni reliés ni séparés, appartenant à une seule et même réalité. Par exemple, un courant d’air, une température,  est un « mouvement » qui se fait entre le « froid » et le « chaud ». Une forme est une « rencontre » entre « l’intérieur » et « l’extérieur ». Une histoire est un « comment » entre un « quand » et un « où ». Etc. Chaque élément n’a aucune existence propre et ne peut exister que dans la relation avec les autres éléments. Le chaud existe il seul? L’intérieur existe-il seul? Le bas n’existe que dans sa relation avec le haut.

Tout ce qui est manifesté, tout ce qui est identifié se lit à travers de cette loi unitaire et universelle qui se déploie de façon holographique et fractale depuis l’origine de notre univers.

Un percept fondateur de la Bioanalogie est la certitude absolue que chaque chose a un sens au service de notre conscience. Tous les événements que nous rencontrons dans notre vie ne sont pas le fruit du hasard. Ils expriment matériellement/concrètement ce que nous ne savons pas vivre en conscience. Ainsi la vie nous invite à nous éveiller à nous-mêmes pour devenir conscients d’une richesse que nous possédons, mais qui n’est pas encore exprimée.
Lorsque nous prenons conscience de tout ça, nous cessons de survivre et nous commençons à vivre.

À quel moment vivons-nous ou survivons-nous?

C’est très simple. Chacun de nous sait précisément à quel moment il est en vie ou en survie, car notre biologie nous l’exprime clairement. Lorsque nous sommes heureux, en paix, épanouis et rayonnants, lorsque nous avons le sentiment de nous accomplir, nous sommes vivants. Nous révélons notre Talent créatif.  Par contre, lorsque nous sommes stressés, malades, lorsque nous sentons que nous ne sommes pas dans toute notre puissance et toute notre intensité, nous survivons.

Notre corps, notre biologie, sont issus de la mémoire animale, qui a pour fonction première la survie de l’espèce. C’est pourquoi notre fonctionnement biologique existe d’abord et avant tout pour survivre. Et lorsque nous survivons, nous plaçons la vie à l’extérieur de nous, tout comme le fait l’animal. Ce n’est pas sa propre vie qui intéresse l’animal, mais l’espèce qui doit se perpétuer concrètement dans le temps en dehors de sa propre présence. Un animal est capable de se sacrifier pour que l’espèce se perpétue. La dimension de l’humain est de cesser de survivre en se mettant en dehors de la Vie. Il s’agit de se reconnaître comme un être unique original et singulier, et de laisser la vie œuvrer à travers soi.

Vous parlez de « Talent créatif ». Qu’en est-il exactement? 

Nous possédons tous un talent créatif, un talent unique, original et singulier qui ne demande qu’à vivre et à s’exprimer à travers nous. Se reconnaître comme un être unique original et singulier nous permet de révéler ce Talent créatif dans lequel nous sommes pleinement vivants.

C’est la révélation de ce Talent qui change non seulement notre relation au monde, mais aussi « notre univers ». Nous avons à nous accueillir dans notre humanité en choisissant de manquer à toute autre forme d’existence. Et c’est l’illusion d‘un non-accomplissement de qui nous sommes qui empêche l’expression de ce Talent créatif.

Vous dites que chaque chose a réellement un sens, comment peut-il en être ainsi pour la maladie?

Rappelez-vous : « Une seule et même réalité! ». Par conséquent, ce qui s’exprime dans la matière est ce qui n’est pas vécu en conscience. Toute maladie devient l’expression biologique et matérielle d’une créativité que nous ne laissons pas vivre. En nous invitant à vivre en conscience, elle révèle la voie de notre propre guérison.

Comme je vous l’ai dit, cette compréhension originale de nos symptômes et de nos maladies est issue de plus de 40 ans de pratique professionnelle d’observation et d’analyse du fonctionnement biologique de l’être humain. Mais elle repose aussi sur presque 70 ans d’expérimentation de la vie avec cette certitude absolue que tout a sens au service de la conscience.

Il est donc évident pour moi qu’il soit nécessaire d’être à l’écoute des petits détails de nos évènements de vie en même temps que chaque symptôme de notre corps pour les considérer comme des guides privilégiés et personnels.
C’est cette évidence qui est maintenant bien connue et acceptée non seulement par tous les bioanalogistes, mais aussi par toutes les personnes ouvertes à cette approche.

Au regard de la maladie, le côté novateur de la Bioanalogie réside dans ce que le symptôme nous enseigne en termes de créativité. En effet, ceux qui sont ouverts à ce que le « mal a dit » ont l’habitude de considérer cette « mal-a-die » comme le résultat d’un conflit. Ce que propose aujourd’hui la Bioanalogie délaisse la dimension conflictuelle de la maladie pour y voir plutôt l’expression de notre profondeur comme une Invitation à vivre en conscience la créativité qui est en nous, mais non encore exprimée. Donc, si je suis malade, c’est qu’un talent créatif doit être révélé pour que je cesse de survivre. Ce n’est pas le conflit qui rend malade, c’est l’absence de créativité.

Travailler sur le conflit revient à chercher une cause, une démarche qui appartient donc encore à la dualité : « je reproduis par survie ». Cela n’invalide pas la valeur de ce travail — je l’ai pratiqué en d’autres temps — mais à mon sens, cela découle de la survie… sans compter le fait qu’on peut rechercher indéfiniment la cause de la cause de la cause, etc. J’ai plutôt choisi de m’intéresser directement au « Principe » de toute manifestation.

Ce qui se passe à l’extérieur et à l’intérieur de nous est l’expression d’une seule et même réalité. Nous sommes cette rencontre et ces éléments sont indissociables. C’est pourquoi nos malaises et nos symptômes ne dérogent pas à cette règle. Un rhume, une migraine ou encore une blessure soudaine ne sont pas le fruit du hasard. Comme toutes autres difficultés d’ailleurs.

Comment entrer dans la guérison? 

• Lisez la suite dans le Magazine Papillon – Vol 1, # 3 – que vous pouvez télécharger gratuitement à cet endroit:

https://formations.conversationpapillon.com/boite-a-outils/

Vous pouvez aussi vous procurer le film du réalisateur Jean-Yves Bilien Ceux qui ne veulent pas guérir…. Un voyage au cœur de l’Inconscient Universel  à cet endroit:

https://www.filmsdocumentaires.com/films/4761-jean-philippe-brebion

Pour connaître les prochaines formations de Jean-Philippe Brébion, entrez votre nom et votre courriel à cet endroit:

https://formations.conversationpapillon.com/formation-bioanalogie/

Vous recevrez l’information par courriel dès qu’une nouvelle formation ouvrira.

Commentaires sur “Le message des maladies

  • Bonjour
    Quelle profonde joie de vous entendre ce matin , non ce n’est pas le hasard qui a guidé mon cheminement jusqu’à cette vidéo, preuve en est la jolie maison de gauche qui figure sur cette vidéo et que j’ai visualisé il y a quelques semaines , J’ai rencontré avec curiosité en juillet 2015 en premier cancer qui m’a guéri du manque d’amour que j’avais vis à vis de moi ( j’ai refusé les protocoles habituels conscience que la guérison m’engageait et qu’elle avait un message et des choses à me faire prendre conscience, j’ai été curieuse de savoir quoi ? ) , Mon intution puis mon corps m’ont guidée sur le chemin vers les voies du pardon , j’anime des cercles de pardon depuis janvier 2016 et j’éprouve une grande joie à le faire car je sens aussi combien j’avais de colère à mon égard de ne pas accepter ma vie telle qu’elle a été jusqu’alors , d’ailleurs pour me faire progresser mon corps m’a renvoyé un petit signal via cette fois une tumeur que l’on a repéré sur mon foie il y aura presque un an, Cette fois j’ai décidé en mon âme et conscience de ne pas subir de chirurgie ni quoi que ce soit, mais néanmoins de changer dans mes habitudes alimentaires et de soutenir mon corps de manière médicale douce , car je suis tout à fait conscience que la maladie cherche à me guérir et non à me tuer comme on nous SE LAISSE PENSER…. je dis souvent en riant que de toute manière c’est mon choix et qu’au moins je mourrai VIVANTE !! J’interpelle c’est vrai souvent les gens en disant cela car ce n’est pas habituel, je n’ai pas peur de la mort car j’ai vécu une EMI à l’âge de 28 ans et je suis consciente que la mort est juste un changement d’état , ma plus grande peur et j’en prends conscience ces temps ci est de manquer de richesses extérieures et votre vidéo vient justement de m’éclairer ENORM ‘AIMANT en me rappelant que ma RICHESSE est intérieure et que le foie désigné aussi en MTC comme le siège de notre accomplissement !!! ALORS GENIAL d ENTENDRE ce matin que l’objectif n’est pas de GUÉRIR mais de VIVRE , voilà ce que j’avais besoin d’entendre et surtout de BIEN PRENDRE CONSCIENCE et de me RÉALISER dans ce que j’ai de plus cher à transmettre qui est de ne pas avoir PEUR de la maladie ni de la MORT car les concept que nous en avons ne sont pas juste. CHERS AMIS CANADIENS je vous remercie vous ANNIE et MONSIEUR BREBION de ces sages paroles , je comprends encore mieux ce matin le message que j’avais reçu en clair audience quand j’avais demandé à mon âme de me dire pourquoi je recevais un cancer de l’ovaire ; le message fut très précis , il disait simplement ATTENTE STÉRILE , hors vos propos viennent aussi de mettre un sens différent sur ces deux mots, Je prends de plus en plus conscience depuis 2015 qu’il faut répondre en toutes choses de SOI et SOI seule , je vais pouvoir finir le livre que j’ai presque achevé …. j’ai compris ce que je devais y mettre de précieux , VIVRE pour GUÉRIR GRATITUDE GRATITUDE à vous et MERCI POUR CE RICHE PARTAGE

  • Bonjour,
    La dualité c’est bien la clé, la manifestation de l’être humain dans deux plans bien différents, le plan du corps physique où le mental contrôle les fonctions du corps au travers d’ une image déformée de la réalité car régit par les lois de la relativité pour construire notre égaux en compensation des dettes karmiques. Le corps astral ou éthérique qui est immortel en dehors de toutes les lois physiques de la matière, être dans la vie en conscience c’est en quelque sorte ralentir un peu le temps qui passe ou même sortir du temps pour laisser agir l’esprit créateur qui ne connaît pas la peur, même celle du coup de poing et ainsi économiser les énergies pour accomplir le cercle vertueux nécessaire à la vie celui en particulier de ne pas tomber malade..
    Encore merci pour tout votre développement, je partage complètement votre analyse.
    Bien à vous.

  • Une approche très intéressante, qui va bien plus loin que la question du sens (précédemment évoquée dans d’autres vidéos de conversation papillon). La phrase clé est, pour moi, « il ne faut pas vouloir guérir, il faut choisir de vivre », ce qui a pour effet immédiat de nous placer à un méta-niveau, sur un autre plan de conscience.
    Merci beaucoup, vraiment très intéressant, ça fait réfléchir..

  • Un énorme merci à tous les deux pour ce magnifique entretient. Une fois de plus , cela tombe à pic. Je suis dans un grand tournant de vie, j’ai passé trop longtemps à côté de qui je suis vraiment. Je ne me souviens pas d’un jour où je me suis levé en bonne forme. Cependant je dis merci à tous les matins….j’ai suivi formations sur formations pour comprendre le pourquoi mon corps était aussi bavard. Bien que depuis plus de 20 ans que j’ai décidé de ne plus m’identifier à lui et continuer pour trouver LA Solution 🙂 Aujourd’hui Philippe à dit LA phrase : IL NE FAUT PAS CHERCHER À GUÉRIR …IL FAUT CHOISIR DE VIVRE ….. Une phrase qui a sonné dans mes cellules. MERCI
    Je m’accueille dans ce que je suis dans l’instant présent. Je vous embrasse et vous aime Énorm*Aimant . Avec toute ma gratitude

  • Après lecture des textes et de la vidéo Je me suis retrouvée à 6 ans en train de butiner très gourmande aux choses de la vie et j’énervais tout le monde alors j’ai été ce que les autres voulaient que je sois en oubliant d’être en accord avec moi même …. j’ai 66 ans et un emphysème qui me confine à la maison … depuis peu de temps je récupère du souffle et je recommence à butiner mais maintenant si cela énerve les autres cela devient leur problème mais bien évidemment en restant correcte et en conscience. Un grand merci à vous aussi.

  • tout ceci est fort intéressant et je comprends pourquoi j’étais fascinée l’an passé quand j’ai lu l’empreinte de naissance. mais alors si la vérité et si notre accomplissement sont en nous et non à l’extérieur, quels sont les outils recommandés pour mieux percevoir ce qui nous rend plus vivant. J’ai hâte de continuer à regarder les formations.

  • Je suis totalement à la recherche de mon talent créatif, au point que je perds la passion “extérieure” de tout ce que j’ai voulu, choisi, investi et exercé. C’est très troublant pour moi car je n’ai aucune idée pour l’heure de ce que je vais faire à part l’unique en-vie de m’occuper de moi-même ! Somme toute jusqu’ici j’ai surtout axé mon action et mes efforts pour autrui que ce soit pour ma famille, mon couple, mes clients, élèves, etc. J’avais le souci du bien-être d’autrui, un peu du mien (assez pour survivre ! Mais pas assez pour vivre…) Alors voilà grâce à votre video je suis en mesure de confirmer, d’affirmer, que ce dont j’ai grand besoin c’est de moi-même en toute priorité. Pour l’heure ça me semble un luxe absolu, et je ne sais pas ce qui va/peut arriver en faisant ce choix là. De toutes façons, mon état de santé ou plutôt de difficultés m’oblige à me réorienter, ou mieux, à me créer autrement. C’est le vertige de tout quitter, de l’inconnu, mais c’est aussi l’envie de vivre !

  • Vidéo passionnante !
    La vie est un long parcours semé d’embûches et de choses formidables aussi..
    Survivre à un fonctionnement de vie qui nous convient pas, sans rien regretter et accepter d’avancer en étant responsable oui, sans forcément chercher la cause c’est incroyable. Pourtant la cause permet de comprendre…
    Pour ma part, je ne suis pas vraiment malade, mais c’est plutôt une fracture émotionnelle.
    Alors comment la guérir ? En acceptant?
    J’ai un fils de 20 ans qui a rencontré une fille sur internet, et notre vie a basculé.
    Fille à problèmes, passée dans une émission tv pour s’en libérer. Et il a tout quitter pour elle, parents famille amis BTS maison.. Nous parents rejetés pendant 1 an car soit disant on ne l’acceptait pas elle qui ne voulait pas nous voir! Maintenant une autre année à revenir nous voir car il a besoin d’argent, avec la haine dans les yeux et beaucoup d’altercations… Garçon sans problème avant !
    Comment accepter ça en tant que mère, et puis père grands parents?
    Comment ne peut-on pas dire que l’on survie à cette situation ? Le laisser vivre son expérience, et nous là-dedans ? Vivre et oublier? Ou vivre et comprendre?
    Il faut que jeunesse se passe, oui mais en attendant??
    Nous nous en sortons sans dépression ni pathologie particulière, moi seulement une mâchoire qui se bloque, luxée.
    Que faire, que dire?
    Il faut tuer père et mère pour avancer, ça ne peut pas être plus simple ? Avoir une copine et une belle famille ? Mais dans ces conditions maintenant c’est devenu déjà compliqué pour moi, elle est quand même à l’origine de ce drame familial!
    Merci la vie de me donner la force tous les jours 🙏
    Vivre??

  • Merci beaucoup pour ce partage, et pour ces rappels qui me remettent au bon endroit en moi : dans vivre qui je suis! En me libérant des fausses croyances et illusions qui me perdent régulièrement , et m’empechent de me vivre pleinement dans ma créativité. Cela me ramène à la joie essentielle, celle d’etre pleinement moi maintenant, là où j’en suis, sans jugement ! Merci encore !

  • Merci pour cet exposé intéressant. Malheureusement je ne crois pas qu’il soit à la portée de tout le monde de pouvoir réaliser “qu’il ne faut pas vouloir guérir, mais qu’il faut choisir de vivre”.
    Etant donné mon parcours d’étude de l’être humain, j’ai pu constater que tous les conditionnements qu’il subit dès la conception l’empêche la plupart du temps de “vivre” comme vous le décrivez. Il faut donc qu’il commence par se déconditionner! Avez-vous prévu le parcours de déconditionnement dans vos cours?
    D’autre part j’ai pu constater aussi que dans certains cas la maladie sert de suicide. En tenez-vous compte dans vos cours?
    Merci beaucoup pour votre réponse.
    Evelyne Disseau

  • Bonjour monsieur Brebion,
    Merci pour cet éclairage, très nouveau pour moi, qui a 79 ans, suis en perpétuelle recherche d’une guérison physique depuis mon enfance, sans succès.
    «Ne pas chercher a guérir mais choisir de vivre ». C’est un changement total de  paradigme, une autre façon de répondre à toutes ces questions qui me taraudent continuellement . Est ce qu’une hypothèse ou une croyance nourrie par cette certitude que cette réponse est la solution. .? Après tant d’années a chercher les ou la cause de mes problèmes de santé, je constate que tous les porteurs de solutions ( et il y en a à profusion dans ce domaine de la santé), se disent sûr d’eux et vont rétablir l’harmonie qui vous fait défaut. Hélas, rien de tout cela au bout du chemin proposé, sinon une énième déception. Dois je encore douter de vos connaissances et de votre propos…
    Votre analyse vient cette fois ci à moi comme une sorte de rédemption qui éveille mon esprit et m’invite à une certaine résilience ,a voir la vie d’une autre façon, à la regarder différemment et la remercier pour tout le bon qu’elle m’a apporté et j’ai été gâté de ce côté là . Vivre l’instant présent et faire confiance à la vie est une invitation à un certain bonheur de vivre. Alors un grand merci pour votre message.

  • Bonjour et merci pour ces belles paroles justes! je souffre de sciatique suite à une hernie discale, et j’ai du mal à accueillir cette souffrance qui me semble injuste. Je comprends avec ma tête et je sens avec mon cœur que ces maladies me disent réveille toi, sois qui tu es! Je vis le paradoxe de croire vraiment qui je suis, mais mon mental …. gamberge et me ramène à l’extérieur. Aujourd’hui j’accueille ces maladies à travers vos paroles, mais … toujours!!! Peurs d’Être ! J’avais besoin d’entendre que Vivre c’est être qui on est , et Rien …laisser faire!

  • MERCI , vous écouter m’a envoyé a osé encore de décider et m’affirmer !…d’être cet personne unique !…que la société essai tellement de me coincer pour ne pas être un mouton qui reste dans le troupeau sans se battre pour aller à l’essence même de la vie !
    moi je choisis la vie . Merci beaucoup ,j’aime beaucoup votre magasine Papillon .Namasté

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